Affichage des articles dont le libellé est bla-bla. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est bla-bla. Afficher tous les articles

mardi 31 mars 2015

Mon petit papillon

 Depuis plusieurs semaines mois, ma vie semble se résumer à ça :



L'énergie me manque tellement qu'elle en est devenue un concept. Ou un enjeu de négociation permanente avec mon corps.

lundi 8 décembre 2014

Allez hop ! Il faut que ça bouge...

...parce que ça déménage après-demain !


Bon, à part les 4 étages sans ascenseur, j'aimais bien notre ancien appart'. Et puis le tri que je devais faire a pris des proportions plus importantes (et pénibles).
Problèmes de santé, accidents de travail, dégâts des eaux (85% d'humidité dans le mur mmmm), projets suspendus, ruptures...ça c'est fait. Se relever pour se remettre en marche, c'est en cours et ça fait encore mal. Mais au moins la vue se dégage.


Pendant quelques temps, je ne partagerai plus le Picon-bière de la même façon. Et je ne regarderai plus MacGyver comme avant.

mardi 25 novembre 2014

Journée de conscience

Certains jours, il m'est plus difficile d'avaler la pilule que d'autres.

Le 25 novembre, hier donc, c'était la Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes
  
Aujourd'hui, c'est la première Journée mondiale contre le foie gras... 

Je ne conteste pas, loin de là. Je serre les dents, parce que l'existence de journées comme celles-ci (et comme d'autres) rappelle douloureusement qu'il y a besoin d'une prise de conscience générale sur des problèmes qui ne sont que trop présents dans la réalité.
Conscience...réalité...
Le cynisme m'amène aussi à rire de l'enchainement involontaire et à penser que le calendrier de ces journées de prise de conscience commence furieusement à ressembler aux noms arbitraires et aléatoires d'un calendrier républicain :

http://monroig.fr/emgenea/images/Loi%20du%2024%2010%201793.png


Bon, même si c'était hier :
http://www.un.org/fr/events/endviolenceday/ 
La prise de conscience est un premier pas. Un travail de longue haleine et sans date-butoir reste à faire...
Je ne mettrai pas davantage de mots à ce sujet, du moins pas aujourd'hui.

Bien à vous.

samedi 13 septembre 2014

Rentrée 2014

La rentrée. Avec son lot de démarches qui reprennent, et qui semblent aboutir enfin, et de façon plus positive. Je croise les doigts.
Avec un investissement psychologique et physique plus déterminant que jamais. Des prises de décision qui s'enchaineront de plus en plus pour cet automne.
Avec la main à la pâte, à la matière.

Alors, je profite tant que je peux encore des moments de calme qui se présentent. 
Je suis dans l'expectative. Je suis presque impatiente de participer à la suite des évènements. Et comme je pressens que ça va demander pas mal de ressource, je fais le plein de sérénité.
Je joins une image à l'humeur du moment.


Prenez soin de vous !

mercredi 3 septembre 2014

Wake me up before september go go...

Par ici, vous pourrez suivre l'actualité de ce fameux projet que j'avais évoqué il y a quelques mois...

Les visites reprennent et nous sommes toujours déterminées à offrir le meilleur !

mercredi 30 juillet 2014

Des boites...et encore des boites !

A la cave, j'ai trouvé des boites en cartons. Je poursuis mes rangements.

Assortie à la boite consacrée à mes produits de maquillage, il y a une nouvelle arrivée :


J'ai aussi recyclé une boite de pâtisseries libanaises en boite à bagues :


Pour en finir avec la série de boites de ce billet (car il est possible que d'autres suivent avec des step-by-step si j'y pense), j'ai construit et habillé cette boite à chapeau qui pour le coup reçoit des fleurs séchées !

lundi 28 juillet 2014

De la poudre au yeux bis

En bonne amoureuse des couleurs et des pigments, il ne m'a pas fallu longtemps pour vouloir les mettre en valeur et renouveler l'exercice de la palette make-up aimantée. 




J'ai poussé plus loin encore la réorganisation de mes produits de maquillage avec cette grosse boite...

qui n'est rien de plus qu'un carton re-compartimenté, habillé de papier décoré (merci Hema), de washitapes et peint à l'acrylique...mais qui me satisfait amplement.

jeudi 24 juillet 2014

De la poudre au yeux

J'ai fait du tri. Et dans la salle de bain, je me suis aperçue que mon système de rangement avait besoin d'être revu. 

Le tiroir à make-up m'a donné du fil à retordre.
Fi du vieux, du superflu et/ou de l'irrécupérable. Quelques heures d'exploration sur Pinterest et Youtube m'avaient soufflé une idée pour fabriquer ma propre palette aimantée de make-up (subterfuge économique de la Z-palette)...

Recto du résultat :


 Verso :
 Un boitier de DVD re-taillé + une feuille magnétique + colle + divers papiers décorés + du vernis-colle =

ou comment faire fi des multiples fards individuels, pour récupérer de la place et aviser en un coup d’œil de ses ombres à paupières !


lundi 21 juillet 2014

Accroche-coeur et autres colifichets.

La chaleur et le soleil ne sont pas particulièrement au rendez-vous cet été, mais ce n'est pas moi qui irai m'en plaindre.

Il faisait encore beau lorsque j'ai pris ces photos dans ma chambre. Depuis quelques temps ça me démangeait d'utiliser la nouvelle perceuse. Et après avoir passé en revue diverses manières de ranger mes colliers et boucles d'oreilles, je me suis résolue à fabriquer moi-même de quoi accrocher.



Donc pour mes colliers, j'ai combiné présentoir et tête de lit.

J'ai créé des cadres avec des plaques en carton de scrapbooking, de la toile à canevas et du ruban... Toute à ma frénésie de bricolage, je n'ai pas pensé à faire un "step-by-step"... Voilà le résultat : 



A suivre !

vendredi 11 juillet 2014

Tic...tac...tic...tac...tac...tac...tac...

Je suis partagée. D'un côté, le temps me donne l'impression de se traîner. Et de l'autre jour, les semaines voire les jours me semblent comptés. D'où l'improbable image d'une épée de Damoclès qui tantôt se balance avec lenteur, tantôt qui s'abaisse précipitamment un peu plus.

J'ai retrouvé une certaine activité. Mais la tristesse ne s'efface jamais complètement.
Certaines nuits, quand je n'arrivais pas à dormir, il m'est arrivé aussi de crafter.
Depuis le mois de mai, je me suis remise au vert. J'ai installé à nouveau de la végétation sur mes mini-balcons. Et depuis juin, j'ai repris le bricolage.

J'ai du mal à à trouver les mots ou les images pour exprimer tout ce qui se passe en moi.
Alors quand il me prend l'envie de mettre les mains dans la terre, de bricoler, ou de simplement gribouiller, je laisse venir. Mes mains et mon cerveau se concentrent sur une seule tâche à la fois, et ma foi, le résultat me plaît pas mal. Me soulage. Me fait de la place. M'ancre à nouveau dans le concret.



Je glisse un petite image d'une de mes petites compositions. Pétunias et coleus.

mercredi 18 juin 2014

Oups. Voilà un moment que je n'étais pas passée par ici pour poster...
Il faut dire que mon début d'année a été, n'ayons pas peur des mots, catastrophique. Je me suis refusée d'écrire en étant déprimée et triste. J'ai préféré attendre que la crise passe. Sauf qu'il y en a eu d'autres de crises. Et qu'elles sont toujours d'actualité dans ma vie.

C'est fou à quel point l'annonce de la maladie peut changer sa vie. 

En 2013 deux objets ont changé ma vie, et surtout ma façon de voir les choses : un fauteuil roulant pour l'Autre et une alliance.
Depuis, nous apprenons à vivre avec.

Nous avons essayé de conjurer le mauvais sort par un événement plus heureux.

Cette année encore, j'apprends encore une autre nouvelle bouleversante. Pour conjurer le sort là encore, je me suis lancée  dans un projet qui me tient à cœur, avec des personnes passionnées, remarquables. Ce futur shop n'est pas encore ouvert mais l'aventure humaine a déjà démarré.



Depuis quelques mois, je me lève le matin avec ce constat étonnée : Putain, j'ai survécu.
Je n'ai pas abandonné.
Je suis en vie.


Mais j'ai toujours peur des chenilles.


dimanche 15 décembre 2013

Tu seras un être humain ma fille.

Je suis une habituée de l'exercice "Et si...".
Sur le plan créatif c'est stimulant. Mais parfois sur le plan émotionnel...comment dire, c'est se remuer le couteau dans la plaie.
J'ai le regard (trop souvent pour certains) vers le passé.

Si je devais me retrouver face à celle que j'étais il y a 10 ans, ce serait long et difficile.

Je me dirais en premier lieu qu'effectivement je ne ressemble pas à ce que j'aurais pu souhaiter.

Je me dirais : "Tu sais,

" Tu seras moins entière, moins catégorique.
Tu ne seras pas moins passionnée, mais tu ne concevras plus les choses autour de toi sans nuancer.

Tu connaîtras de longues périodes de désordre.

Tu te découvriras capable du meilleur comme du pire.

Tu renonceras à être une maniaque du contrôle.

"Tu ne vivras plus dans la quête désespérée de la reconnaissance de Lui. Il ne te la donnera jamais. Il ne t'atteindra plus autant.
Tu n'auras plus besoin de l'assentiment de tes parents pour connaître ta valeur.

Tu n'auras peut-être pas accompli tout ce que tu auras imaginé, mais tu sauras ne pas baisser la tête.

"Tu ne te feras plus la guerre.
Tu découvriras que jusqu'alors pour plaire aux autres tu t'étais attachée à ériger un personnage que tu n'étais pas et qui ne te ressemblait pas tant que ça.

Tu renonceras à ce personnage. Tu voudras renoncer aux masques. Et tu apprendras à te pardonner. Je ne dis pas que tu y arriveras, mais tu commenceras à le faire.

Tu seras toujours aussi sensible et écorchée, mais tu ne souhaiteras plus cacher ça sous une carapace.
Tu continueras d'écouter. Tu parleras moins, parce que tu sauras mieux écouter.

"Ta colère, ta tristesse, tes cicatrices, toutes auront un sens à tes yeux et tu ne voudras plus les enfouir pour les cacher.
Tu ne t'imagineras plus tout à fait sans elles, mais tu ne seras plus exclusivement représentée par elles.

"Tu chercheras d'autres solutions à la culpabilité perpétuelle, à l'intransigeance immédiate envers toi-même.
Tu apprendras à reconnaître ta part de responsabilité dans tes relations et leurs parts d'échec.

"Tu retrouveras un plaisir décuplé à la matière.

"Tu renonceras à un rêve. Parce que tu te seras aperçue qu'il risquait de te détruire si tu t'y accrochais.

"Tu oseras couper tes sacro-saints cheveux, et te coiffer comme tu ne l'avais jamais osé. Tu en avais rêvé sans espoir d'un jour le faire, et tu le feras : tu te raseras les cheveux, sans regret, et tu ressentiras même un sentiment de libération. Tu les auras blonds, roses, violets et même verts...
Tu existeras sans nécessairement avoir les cheveux longs.

"Ton corps sera toujours une immense cicatrice à tes yeux, mais tu apprendras à le transformer, à le transcender.
A faire de lui une expérience artistique, un atelier.
Les aiguilles et l'encre deviendront une catharsis.

"Tu te remettras à la musique ;

"Tu auras l'impression d'être une dispersée, et parfois d'agir en dilettante, mais ce sera plus en accord avec toi-même.

"Tu traverseras des épreuves que tu n'aurais jamais imaginées, quelques fois pour des personnes qui n'en vaudront pas la peine sur le long terme, et tu en ressortiras grandie. Et toujours vivante.
Tu seras encore déçue, mais cela aura un sens et tu ne regretteras de moins en moins.

"Tu connaîtras un premier amour, si si.
Tu détesteras les gens. Tu seras misanthrope. Tu feras des rencontres qui cautionneront ce tournant, et d'autres qui te sortiront de cette passe. Et tu t'apercevras que ce n'est qu'une manière de nier ta propre maladresse.
Tu te méfieras toujours des femmes. Tu détesteras moins les hommes. Et tu n'auras plus peur du sexe.

"Tu ne détesteras plus par nécessité les gens.

"Tu accepteras mieux les départs.

"Tu auras plus que jamais besoin de rentrer périodiquement dans ta coquille pour te ressourcer, comme l'Ermite.
Mais pour en sortir mieux.
La solitude ne t'effraiera plus autant, et tu ne la considèreras plus seulement comme une punition ou fardeau, mais comme une ressource.

"Tu aimeras la tapenade, et même les olives telles quelles.
Tu adoreras le thé.

"Tu parviendras à dormir en chien de fusil et seras toujours un peu malade en voiture.

"Tu seras certes plus ronde, plus lourde, mais incontestablement plus forte et endurante.

"Tu aimeras toujours le jardinage.
Tu préfèreras toujours le salé au sucré.
Tu seras toujours sensible aux goûts et aux odeurs.

"Tu te poseras toujours des questions, afin de faire les meilleurs choix."

jeudi 12 décembre 2013

Deux mois déjà...

Deux mois. Plusieurs années avant. Un certain temps.

Un temps pour se faire un cocon, après en avoir quitté un.

Un temps pour vivre la solitude ; un temps pour s'en plaindre.

Un temps pour commencer la vie à deux ; un temps pour s'en plaindre [aussi].

Un temps pour faire des rencontres, bonnes et moins bonnes. Un temps pour en tirer des leçons.

Un temps pour se tromper.

Un temps pour essayer d'atteindre un rêve. Un temps pour échouer et se remettre en question. S'accorder d'avoir eu tort. Et se rappeler d'autres rêves.

Un temps pour être spectatrice de ma vie, le temps de comprendre pourquoi j'en suis actrice si peu convaincue et convaincante. Un temps pour reprendre les guides et accepter de ne pas toujours en avoir le contrôle.

Un temps pour du noir. Pour du blanc et très vite d'autres couleurs. Quelque chose de neuf, de vieux, de bleu et quelque chose d'emprunté.

Un temps pour pardonner, ou du moins pour apprendre encore à le faire.

Un temps pour le prendre un peu, même rien qu'un peu, pour soi.



J'en profite pour montrer mon "Fil rouge" terminé. Qui tombe très bien pour illustrer un évènement auquel je n'avais jamais vraiment cru, et qui a finalement eu lieu. Il y a deux mois. :)

samedi 2 novembre 2013

Please don't take my sunshine away...


Un soupçon de soleil et des fleurs aux couleurs vives pour amorcer ce billet...

Lorsque j'étais encore sur mon île, la Toussaint était très attendue dans la famille.
Avec ma mère, nous allions nettoyer la tombe de ses grands-parents. Nous procédions à un nettoyage méthodique de la sépulture et nous jardinions, pour reverdir, refleurir.

Le 1er novembre, nous revenions pour l'orner plus encore, cette fois-ci avec des bouquets, et en compagnie d'autres membres de la famille. Nous entreprenions aussi une visite des autres tombes de la famille disséminées d'un cimetière à l'autre. Mon beau-père, ma tante, ma grand-mère, ma grand-tante ou qui sais-je... La bonne humeur était au rendez-vous, puisque cet épisode amenait chaque année son lot d'imprévus comiques. Ma tante qui se trompait de tombe, qui nous interpellait et nous enjoignait en criant dans le cimetière de reprendre nos fleurs ; mon beau-père qui manquait de nous arroser avec "l'eau de morts" ; la fontaine du cimetière tapissée d'innombrables escargots qui nous dégoutaient tous un peu ; le chat qui dormait sur la tombe d'à coté, que nous avions dérangé et qui nous faisait sursauter dans sa fuite ; ma mère qui pestait à l'idée que nous montions dans sa voiture les chaussures pleines de terre...

Le soleil était lui aussi souvent au rendez-vous à cette date. Pour moi, le 1er novembre était le premier jour de l'été, car la chaleur ne manquait pas de se rappeler alors à nous.
J'ai le souvenir de la lumière éclatante qui baignait cette journée, la chaleur qui faisait dégouliner les bougies du monument aux morts qui se revêtait alors d'une gangue de cire et de pétales [qui ne partait jamais complètement]. Le soleil qui tapait sur la peau. L'air chargé de l'odeur des fleurs cueillies ou plantées et de la poussière battue des allées du cimetière. L'intérieur des caveaux blanchis qui pouvait à peine offrir un répit à la chaleur humide. Les frangipaniers qui irritaient les passants de leur lait lorsqu'une branche venait à casser. La foule de gens venus fleurir leurs morts s'affairant consciencieusement...
Le sable du cimetière [marin] de Saint-Pierre. Les pierres noires et les caveaux blancs du cimetière de Saint-Louis. Les si singuliers coquelicots du cimetière du Tampon [des coquelicots sous les tropiques !]. Les manguiers le long de la côte de La Rivière Saint-Louis...



La tristesse n'est pas vraiment présente. On se salue de loin en souriant. On se raconte des histoires de famille. On revient sur certaines querelles qui ne nous concernent pas. On parle à nos morts pour s'excuser des bêtises faites en leur présence comme celle de se tromper de vases (ou de tombe). On leur demande l'autorisation de plaisanter sur le temps où ils étaient encore présents. On leur demande aussi de ne pas venir nous tirer les orteils dans nos rêves si l'on profère un juron. On ne mange pas avec eux, même si la découverte de bouteilles, de fruits, de plumes de volailles et d'épices sur certaines tombes donnent à ces dernières des allures de tables de pique-nique...ou de cérémonie. Et silencieusement on leur adresse une prière, celle d'être en paix, et de nous garder aussi en paix.


La Toussaint est un jour de fête joyeuse pour moi. L'été austral arrivait enfin. A mesure que la fin de l'année approchait, les journées se paraient de couleurs, de lumière et de chaleur...

Contrairement à ici. Où je me sens tout de même chez moi aussi. Où l'automne désormais humide et grisaillant me fait me languir de ma fête des morts. Et du soleil.

mercredi 31 juillet 2013

De la lumière enfin...

...pour faire du bien au moral, et me donner envie de dépoussiérer un peu par ici.

Je me languissais du soleil, de sa lumière sur les couleurs. Un petit peu moins de sa chaleur.

Pour illustrer ça, voilà une petite carte postale, avec M. le Lamantin-terrestre :



mardi 5 février 2013

Roulement de tambour...

J'ai accumulé pas mal de retard ces derniers mois.
Mon déménagement a relancé mes projets mais me demande encore une réorganisation matérielle et temporelle.

Je n'ai pas touché à la terre et au verre depuis quelques mois et cela me manque terriblement. En attendant, je dessine, et quelques fois je pousse jusqu'à encrer et orner.
 
Ici je vous livre un aperçu d'une dernière née : inspirée de la Vénus Anadyomède du Titien, ajourée, superposée, relevée au brou de noix, à l'encre métallisée et à la feuille de cuivre oxydée...et en cours d'encadrement... Camellia Sinensis ou l'allégorie du Thé est née. 



J'ai la joie et le plaisir de pouvoir la présenter en exposition ainsi que d'autres dessins, quelques sculptures et vitraux à The Tattooed Lady, à Montreuil, à partir du 8 février !

Informations complémentaires sur les pages Facebook :
https://www.facebook.com/salontattooedlady
https://www.facebook.com/events/400359343386171/

A très bientôt !



jeudi 3 janvier 2013

A-t-on vu le pire..?

...A propos de cette fin du monde prévue par les Mayas, qui a généré beaucoup de râleries, diverses et variées.

Et si finalement :



Nan ? ^^

mardi 17 juillet 2012

Détachement...

La certif' (CAP) vitrail en poche, j'élabore depuis quelques temps de nouveaux projets, qui ne concernent pas seulement le verre... 
Après les Journées de la Céramique, l'appel de la terre s'est fait plus fort que jamais, et je n'ai pas résisté à l'attrait de la porcelaine lors de ce marché un peu spécial...
Il y a de nouveaux dessins aussi, qui n'attendent qu'une occasion pour sortir de ma tête, afin de conjurer certains souvenirs ou tout simplement afin de se suffire à eux-mêmes.

De nouvelles idées, qui n'attendent plus qu'un peu d'organisation...pour aller de l'avant...

Et puis soudain une nouvelle. Bam. 
Un nouveau flot de souvenirs. Un au revoir fait du coup trop vite, trop tôt, et à distance. De la peine à nouveau à canaliser, transformer, transcender.

Me voilà tiraillée entre le désir de me projeter, et l'encombrant passé, mal ordonné, mal réglé. 
il serait si simple de devenir comme souvent l'Ermite. Pour mieux réfléchir. Et pouvoir me détacher.

Reste à trouver de quoi je souhaite me détacher le plus.



Ma prisonnière me fait l'effet d'émerger de son univers contrasté de motifs pour se jeter vers un abîme blanc, vide...
Une petite illustration finie ce printemps que j'avais oublié de scanner, à l'encre de Chine et à la colorex, qui m'a fait ré-éprouver le plaisir maniaque de travailler à la plume... 


jeudi 21 juin 2012

Après les épreuves...

...l'ermite est rentré dans sa coquille !











Un week-end entre le lit et le canapé. Les épreuves étant passées, j'ai eu besoin de relâcher la tension et de récupérer quelques tours de cadrans de sommeil...^^